Cette veille de week-end, la galerie photos Stimultania avait permis à l’association Pelpass et la mystérieuse "MULTINATIONALE DE L’UNDERGROUND" de nous concocter une soirée bien trépidante. Dans le cadre de l’exposition Bourdieu (à voir absolument), au milieu d’une centaine de photos noir et blanc d’une Algérie d’un autre temps, deux groupes avaient pour mission de secouer le public strasbourgeois dans tous les sens en évitant tout de même de faire chuter trop de cadres de l’expo en cours.
La soirée s’annonçait agitée puisque les deux formations présentes évoluent dans les sphères bien intrigantes du math rock. Pas la peine d’entrer dans des détails techniques et pointus sur cette forme de rock où la rythmique s’impose, ce qu’il faut retenir c’est qu’il s’agit là d’une musique dans laquelle il n’est pas toujours aisé d’entrer. Déjà si l’on sent poindre la migraine du siècle en fin d’aprèm, il vaut mieux éviter ce genre d’expérience de concert où chaque coup de batterie résonne intensément dans notre petit crâne et les guitares ou basses semblent plus être maltraités que cajolés !
Ce sont les deux sympathiques garçons de John Makay qui débutaient la soirée. Ils sont drôles, nous font une explication détaillée du concert (très pédagogique comme approche). Certains morceaux sont censés parler d’Amour, vu le contenu ils nous les auraient présentés comme inspirés par la dernière tarte aux pommes de leur grand-mère ça passait tout pareil. Les deux acolytes deJohn Makay manient la dérision de manière charmante. La première partie du set était basée sur quelques anciens morceaux du duo. Il m’a fallu quelques titres pour entrer avec un réel plaisir dans le concert mais une fois conquise les derniers anciens morceaux et la seconde partie avec des inédits s’appréciaient intensément.
La soirée s’annonçait agitée puisque les deux formations présentes évoluent dans les sphères bien intrigantes du math rock. Pas la peine d’entrer dans des détails techniques et pointus sur cette forme de rock où la rythmique s’impose, ce qu’il faut retenir c’est qu’il s’agit là d’une musique dans laquelle il n’est pas toujours aisé d’entrer. Déjà si l’on sent poindre la migraine du siècle en fin d’aprèm, il vaut mieux éviter ce genre d’expérience de concert où chaque coup de batterie résonne intensément dans notre petit crâne et les guitares ou basses semblent plus être maltraités que cajolés !
Ce sont les deux sympathiques garçons de John Makay qui débutaient la soirée. Ils sont drôles, nous font une explication détaillée du concert (très pédagogique comme approche). Certains morceaux sont censés parler d’Amour, vu le contenu ils nous les auraient présentés comme inspirés par la dernière tarte aux pommes de leur grand-mère ça passait tout pareil. Les deux acolytes deJohn Makay manient la dérision de manière charmante. La première partie du set était basée sur quelques anciens morceaux du duo. Il m’a fallu quelques titres pour entrer avec un réel plaisir dans le concert mais une fois conquise les derniers anciens morceaux et la seconde partie avec des inédits s’appréciaient intensément.
Ce fut ensuite au tour du trio de choc Papaye d’investir la galerie. Trio de choc parce que chacun des membres de Papaye officie déjà dans quelques autres groupes. On retrouve au sein de la formation : JB, batteur de Pneu, Mric, guitariste de Room 204 et Franck, guitariste de Komandant Cobra. On sent le trio bien rodé sans doute parce qu’ils tournent ensemble depuis déjà un bon moment. Ils ont à leur actif des morceaux d’une efficacité impressionnante. Il y a certes cette rythmique et cette puissance propres à la musique math rock mais s’ajoutent à leur palette des montées en puissance subtilement menées (et oui math rock n’est pas forcément synonyme de gros patatapoum bourrin).Papaye impressionne et se savoure sans modération !