Laiterie bondée pour le concert des Black Rebel Motorcycle Club qui n’étaient plus venus dans la capitale alsacienne depuis bon nombre d’années. Accompagnée des benjamines du public, c’est après deux premières parties inégales que les B.R.M.C. commencèrent leur show. Pour faire court, de l’avis général hier et lors de dates précédentes de la tournée, le groupe Dead Comboa du mal à enthousiasmer les foules et même rejoint sur la fin par l’un des membres de B.R.M.C. l’ensemble reste poussif. Honnêtement on aurait pu se dispenser de rajouter ce groupe, ce qui aurait fait jouer les B.R.M.C. plus tôt.Kid Karate n’eurent, du coup, pas trop de mal à proposer des morceaux et un set nettement plus efficaces. Déjà fan de leur EP Lights Out, la prestation d’hier m’a définitivement convaincue quant au potentiel de ces jeunes gens. Malgré quelques imperfections, le duo offre en live un rock nerveux avec des morceaux aux mélodies et riffs bien sympathiques.
De toute façon, les stars de la soirée, attendues par un public de plus en plus impatients de les découvrir ou de les revoir, étaient évidemment les mythiquesBlack Rebel Motorcycle Club. Une première en live pour mes filles et moi, une réelle découverte tant le groupe m’est encore assez peu familier. Il n’y a pas à dire, Hayes, Turner et Shapiro savent mener un set quasi sans faute. Le démarrage est des plus efficaces avec les titres les plus pêchus du dernier album (qui n’a pas fait l’unanimité chez les fans du groupe) agrémentés par des valeurs sûres comme l’incontournable "Beat The Devil’s Tattoo". S’ensuit alors une alternance de morceaux limite blues avec d’autres plus mollassons mais qui seront assez vite relevés par quelques titres nettement plus rocks. Il faut dire que le groupe couvre un vaste public et doit ainsi satisfaire un large éventail : entre mes voisins de place sexagénaires, ma pomme et mes filles ce sont trois générations qui sont présentes dans la salle. La remontée en force en fin du concert remet tout le monde d’accord. Les B.R.M.C. sont un groupe à la puissance scénique incontestable avec une flopée d’excellents (anciens...hum hum) titres qui permettent de quitter la salle en se disant que l’on a assisté à un sacré bon concert [qui m’a coûté un bras soit dit en passant entre les places et les vestiaires... mais ça c’est une autre histoire].
De toute façon, les stars de la soirée, attendues par un public de plus en plus impatients de les découvrir ou de les revoir, étaient évidemment les mythiquesBlack Rebel Motorcycle Club. Une première en live pour mes filles et moi, une réelle découverte tant le groupe m’est encore assez peu familier. Il n’y a pas à dire, Hayes, Turner et Shapiro savent mener un set quasi sans faute. Le démarrage est des plus efficaces avec les titres les plus pêchus du dernier album (qui n’a pas fait l’unanimité chez les fans du groupe) agrémentés par des valeurs sûres comme l’incontournable "Beat The Devil’s Tattoo". S’ensuit alors une alternance de morceaux limite blues avec d’autres plus mollassons mais qui seront assez vite relevés par quelques titres nettement plus rocks. Il faut dire que le groupe couvre un vaste public et doit ainsi satisfaire un large éventail : entre mes voisins de place sexagénaires, ma pomme et mes filles ce sont trois générations qui sont présentes dans la salle. La remontée en force en fin du concert remet tout le monde d’accord. Les B.R.M.C. sont un groupe à la puissance scénique incontestable avec une flopée d’excellents (anciens...hum hum) titres qui permettent de quitter la salle en se disant que l’on a assisté à un sacré bon concert [qui m’a coûté un bras soit dit en passant entre les places et les vestiaires... mais ça c’est une autre histoire].
"Whatever happened to my Rock’n’Roll Punk Song" jouée quelques jours plus tôt à Lille... du même acabit hier soir à Strasbourg